Cette homélie du fondateur de l’Opus Dei, Saint Josémaria Escrivà de Balaguer, a été prononcée en 1962, sur le campus de l’Université de Navarre (Pampelune), alors en construction.
Le saint fondateur y résume l’esprit qu’il diffuse à travers l’Opus Dei fondée en 1928 : appel universel à la sainteté, conscience aigüe de la filiation divine, sanctification dans le travail ordinaire de chaque jour.
Saint Josémaria est fêté le 26 juin.
Saint Jean Chrysostome commente la lettre de Saint Paul aux Ephésiens. Dans cette homélie, il s’étend sur les relations entre mari et femme. Si la doctrine de l’Eglise a évolué sur certains points (comme l’égalité naturelle entre homme et femme), le contenu de cette homélie est tout de même révolutionnaire pour l’époque.
Elle montre le soucis porté dans l’Eglise, à la paix des familles et à la délicatesse des relations entre mari et femme.
En attente de la Pentecôte, voici un sermon du saint curé d’Ars sur le sacrement de réconciliation, sacrement par lequel nous recevons les dons de l’Esprit Saint.
Comme le disait Jean-Paul II, la confirmation est une "Pentecôte pour [notre] vie"
Un sermon de Saint Bernard de Clairvaux, père de l’Eglise sur les sept de l’Esprit Saint, à l’occasion de la Pentecôte qui approche.
Bonne lecture à tous !
L’Homélie du jour de l’Ascension tire son originalité du fait qu’elle constitue une petite anthologie biblique sur le mystère célébré : saint Grégoire y a rassemblé, en un discours pastoral très accessible, les textes que l’Ecriture et la liturgie proposent en ce jour à notre piété. I- (1-8) Le pape commente d’abord l’évangile. Il remarque que le retard qu’ont mis les disciples à accepter la Résurrection donne plus d’assurance à notre foi. Jésus leur montre la vérité de son corps en mangeant avec eux, avant de monter au ciel. L’orateur explique en quel sens c’est « à toute créature » que les disciples sont envoyés prêcher l’Evangile. Il donne à cette occasion un bel aperçu de la notion antique de l’homme, considéré comme un microcosme de toute la création. Il expose ensuite de quelle façon il faut entendre que ceux qui croiront seront sauvés, pourquoi les miracles promis aux croyants étaient réservés aux débuts de l’Eglise, et comment ils continuent sur un plan spirituel, qui n’en a que plus de valeur. Grégoire résout enfin l’apparente contradiction entre le texte de saint Marc, qui présente Jésus assis au Ciel, et le témoignage de saint Etienne, qui le voit debout à la droite du Père. II- (9-11) Méditant le mystère de l’Ascension, le pape y voit avant tout un mystère de joie : joie de l’élévation de notre nature humaine, de l’effacement du décret qui nous condamnait à la mort, et de notre délivrance de la captivité. L’Homélie s’achève par un vibrant appel à jeter dans le Ciel l’ancre de notre espérance : Dieu ne décevra pas le désir que lui-même nous inspire.
En attendant la fête de l’annonciation (25 mars), voici une courte homélie de Saint Ephrem à ce propos.
Homélie de Benoit XVI lors de la célébration eucharistique à l’occasion de la publication de l’Instrumentum Laboris (Stade Amadou Ahidjo de Yaoundé, Cameroun Jeudi 19 mars 2009) du synode des évêques africains.
Voici un commentaire du Notre Père par Saint Thomas d’Aquin. Il s’agit en fait d’une homélie prononcé lors du Carême 1273.
Origine du document : Docteur angélique. Traduction par un moine de l’abbaye de Fontgombault.
Voici l’homélie prononcé le 1er janvier 2009, par Benoit XVI à l’occasion de la solennité de Sainte Marie Mère de Dieu.
La fête de la Nativité, la fête de la naissance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, avait été connue longtemps dans l’Occident, et célébrée le 25 de Décembre, avant qu’elle fût connue dans les Eglises d’Orient ; mais enfin elle fut apportée dans ces Eglises, et célébrée avec beaucoup de solennité. — Comme il n’y avait que dix ans qu’on la célébrait à Antioche, et que quelques-uns l’attaquaient encore comme récente, saint Jean Chrysostome, le jour même de cette fête, en l’année 386, après avoir dit un mot sur le mystère, entreprend de prouver que le jour où l’on célébrait la naissance de Jésus-Christ était vraiment le jour où il était né. — Il le démontre par trois sortes de preuves : 1° par l’empressement avec lequel la fête a été reçue ; 2° par le dénombrement des habitants de toute la terre, fait en vertu d’un édit de César Auguste, dénombrement dont la date est consignée dans les registres de Rome ; 3° par le temps où Zacharie reçut l’heureuse nouvelle qu’Elizabeth son épouse était enceinte de Jean.
Facite ergo fructus dignos pœnitentiæ.
Faites donc de dignes fruits de pénitence (S. Luc, III, 8.)
"Tunc videbunt Filium hominis venientem cum potestate magna et majestate". - Alors ils verront venir le Fils de l’homme avec une grande puissance et une majesté terrible, environné des anges et des saints. (S. Luc, XXI, 27.)
L’humilité corrige bien des fautes , l’orgueil rend inutiles les plus grandes vertus. Jésus-Christ surtout et ses disciples nous apprennent à être humbles. Moyens pour réprimer l’orgueil et pour s’exercer dans la pratique de l’humilité.
Homélie prononcée par le souverain pontife lors de la messe qu’il a célébrée aux Invalides le 13 septembre 2008.
Benoît XVI a prononcé cette homélie le vendredi 12 septembre en la cathédrale Notre Dame de Paris lors de la célébration des vêpres.
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